vendredi 24 décembre 2010

Srebrenitsa Paquinou...



Tu trouvais mes mots forts & beaux, ma folie drôle, juste & créative... Alors pourquoi je ne trouve ni mot, ni folie aujourd'hui pour exprimer une tristesse bien banale face à cette vie, car c'est ainsi que je veux nommer ton départ, qui a eu raison de tes forces ??
Coucher sur le marbre de l'internet l'épitaphe d'un au revoir par delà le banal pour immortaliser ce discret sourire aux yeux... Silencieux... Empli de richesses, de partage, d'immense humanité... Par delà les mots parfois si impuissants, la pensée la plus violente du regret...
Par delà l'irrémédiable réalité, te montrer à ceux qui ne t'ont pas croisé, te rendre un peu à ceux qui te pleurent...
Paquinou,
C'est sans hésitation que tu avais accepté mon invitation à offrir ta voix, tes émotions et ta générosité pour redonner vie l'espace de quelques minutes à Malik, souvenir douloureux d'une amitié regrettée d'un des nôtres... A mon tour, je dépose ici ce morceau inaltérable de toi, fusion pure des pensées d'un de tes amis doublement attristé aujourd'hui, d'un être cher disparu dans l'horreur que tu condamnais et d'un ami qui vient de s'éclipser si discrètement...


(1000 excuses pour le msg de pub du logiciel qui disparaitra demain)
A toi, Paquinou...


2 commentaires:

Dominique a dit…

Je n'avais pas souvenir de cette reprise du texte de Patrick par Bernard. Il le dit très bien. Quand était-ce ?

Sijavéssu a dit…

C'était en Aout 2008 pendant votre voyage aux States...