mardi 25 mars 2008

Je préfère qu'on reste amis...

Premier film d'une petite série que je me suis concoctée pour ce week tranquille avant la dernière ligne droite vers les partiels de mai...
J'ai commencé soft, film français sans prétentions, qui se laisse regarder mais faut vraiment n'avoir rien d'autre à voir... en bref, il ne me laissera pas un souvenir impérissable...
Je préfère qu'on reste amis d'Eric Toledano et Olivier Nakache (2005)
Un Depardieu une fois encore très à la hauteur, pour un rôle sans surprises, sans difficultés mais bien porté... secondé d'un Jean-Paul Rouve toujours égal à lui-même et dans un rôle que l'on pourrait penser sur mesure, sauf, qu'à mon sens, on commence un peu trop à l'enfermer dans ce style de costard, bien trop près du corps... change de direction JPR, je suis certaine que tu peux bien plus que ça...
Pas de technique ni d'artistique pour ce film bien trop tranquille... juste un résumé, une petite vidéo et quelques annotations...
résumé : Claude un informaticien, célibataire, timide et transparent croise la route de Serge lors d'un mariage. Divorcé, père de deux fillettes, c'est un homme élégant, au sourire immaculé, l'archétype du parfait célibataire qui s'assume sur le fil de la cinquantaine clinquante. Même si les deux hommes sont diamétralement opposés tant dans leur caractère que dans leur démarche, un objectif commun va rapidement les réunir : la quête de l'âme soeur... (source allociné)
Trailer


Comme je l'ai dit plus haut, un film sans prétentions, qui se laisse regarder... après, c'est sur, l'œil un peu plus averti pourra s'appesantir sur la prestation de Depardieu, et constater son évolution, son renouveau plutôt, depuis quelques années et notamment sur quelques petits films du genre... Une fois encore, je ne peux m'empêcher de me dire que cet acteur est en sous régime, qui l'en a encore sous le capot et qu'il serait fort appréciable qu'on lui proposât des rôles un peu plus consistants... J'ai déjà fait ce constat il y a quelques mois sur le film "Quand j'étais chanteur" et je persiste aujourd'hui... Si j'avais les moyens de réaliser un long, je parierais sans problème sur un Depardieu en rôle de compo... alors messieurs-dames de la réalisation (et prod) à vos courages, risques et paris...

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